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17/10/2019

« LA VIE SPIRITUELLE QUI DESCEND EN NOUS EST DÉJÀ SI FAIBLE, EN RAISON DE CE CORPS MORTEL OU NOUS SOMMES ENFERMÉS ! ... »

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«  (…) Elle s’en retire si vite, après avoir allumé en nous

le flambeau de notre pensée. »

 

« Malheur à ceux qui auront laissé semer en eux le germe de la froideur, et de l’inaction ; il ne pourra pas manquer de produire un jour des fruits amers, et couverts de ronces, dont tous leurs membres seront transpercés, il ne pourra pas manquer de livrer tout leur être à des maladies inguérissables. Malheur à ceux qui ne saisiront pas, avec une ardente vigilance, ces éclairs passagers qui nous sont envoyés de temps en temps dans nos ténèbres ! La vie spirituelle qui descend en nous est déjà si faible, en raison de ce corps mortel où nous sommes enfermés ! Elle y vient si rarement ! Elle s’en retire si vite, après avoir allumé en nous le flambeau de notre pensée, que sans la plus active attention, nous devons craindre que le flambeau s’éteigne, avant qu’elle revienne, si nous n’avons pas soin de le nourrir et de l’entretenir ! »

(Louis-Claude de Saint-Martin, Le Nouvel Homme, § 58.)


« (...) nous devons craindre que le flambeau s’éteigne. »

 

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